Sous le soleil de plomb, entre les rues, il se faufile.
Il miaule au creux des tôles, te murmure de doux chants d’antan.
Dans son sillage, les odeurs défilent, réminiscence de parfums évanouis.
Serait-ce les souffles du vent d’autan ?
Sous le soleil de plomb, entre les rues, il se faufile.
Il miaule au creux des tôles, te murmure de doux chants d’antan.
Dans son sillage, les odeurs défilent, réminiscence de parfums évanouis.
Serait-ce les souffles du vent d’autan ?
Au vent d’Autan que je ne connais guère,
je préfère mon cher Mistral de naguère
qui, en soufflant contre les vielles pierres,
du grenier faisait voler la poussière.
Joliment formulé !