Sous le soleil de plomb, entre les rues, il se faufile.
Il miaule au creux des tôles, te murmure de doux chants d’antan.
Dans son sillage, les odeurs défilent, réminiscence de parfums évanouis.
Serait-ce les souffles du vent d’autan ?
Sous le soleil de plomb, entre les rues, il se faufile.
Il miaule au creux des tôles, te murmure de doux chants d’antan.
Dans son sillage, les odeurs défilent, réminiscence de parfums évanouis.
Serait-ce les souffles du vent d’autan ?
C’était hier, c’était l’été,
mis à nu,
le toit de la grange étalait au soleil ses vieux oripeaux
de bois blanchi par les saisons et de tôle rouillée.
Quand vint l’hiver, cachée sous son manteau de neige,
la grange sourit sous cette blancheur
et se dressa très fière, très belle !